• Guider sa soumise avec assurance

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  • Extrait de mon livre "Pour me baiser, demandez-lui"

    Crochetée

    Mon Maître avait décidé d’une nouvelle acquisition : le crochet anal.

    Je découvris son envie de me maîtriser ainsi en regardant, comme je le fais quotidiennement, le blog qu’il alimente d’images représentant la façon dont nous nous aimons. J’ai d’abord pensé à une envie passagère, puis devant la multiplication d’images montrant des Chiennes présentées avec un crochet dans l’anus, je réalisai que l’idée était bel et bien ancrée dans l’esprit de mon Maître. Ce crochet, il le voulait !

    Je me mis donc en quête d’un site sérieux où trouver ce nouvel outil de guidage. Au fur et à mesure de mes recherches, je m’interrogeais sur l’utilisation qui pourrait en être faite. Très vite je m’imaginai à quatre pattes, cambrée, mon Maître face à moi me présentant sa queue, rythmant mes mouvements à l’aide du crochet qu’il tirerait vers lui par légers à-coups. Je me demandais quelle sensation j’en éprouverais, et quel plaisir mon Maître y trouverait. Bien évidemment mon instinct de Chienne aimant servir au plaisir du plus grand nombre s’emballa et je me représentai bientôt dans la même situation, mais avec un invité supplémentaire me pilonnant vigoureusement pendant que, toujours sous la coupe du crochet, je suçais mon Maître. Les quelques inquiétudes que je pouvais avoir au sujet de ce crochet s’étaient évanouies avec le désir naissant de me retrouver ainsi à sa merci.

    Quelques jours plus tard le colis arriva. L’après-midi même il décida de tester ses effets, me voyant sur le canapé, les fesses relevées et me sachant nue sous ma robe. Il me tendit alors le crochet qu’il avait relié à une laisse et m’ordonna de le mettre en place. Je m’exécutai après avoir feint une légère retenue. Je n’attendais que ça depuis l’arrivée du colis…

    La froideur du métal fut agréable au contact de la muqueuse et je me mis en position de Chienne, à quatre pattes, légèrement cambrée, la laisse remontant sur mon épaule. J’attendais sagement, en le regardant, que mon Maître décide de jouer avec mon plaisir. Ce qu’il ne tarda pas à faire. Aux premiers prémisses de mouvement exécutés par mon Maître, toute retenue s’était évanouie. Je n’étais plus qu’une Chienne en chaleur voulant être baisée par son Maître. Je sentais mes jambes s’ouvrir, ma croupe se cambrer davantage, mes cuisses se tremper de cyprine. Mon corps tout entier appelait à la copulation, mon esprit tout entier était dévoué à mon Maître. Je voulais le supplier de me baiser mais le plaisir de lui abandonner toute décision était plus fort. Etre à sa merci, le laisser décider de mon plaisir était divin.

    Ce jour-là, j’ai dû attendre quelques heures pour être baisée, mais je le fus par deux hommes, mon Maître et un invité, à qui il fit l’honneur de tenir le crochet et de me contempler dans ma condition de Chienne soumise.

    J’aime qu’il me fasse attendre en me rendant folle de désir, la frustration est un plaisir complexe mais si intense…

    Crochetée (texte de ma chienne)

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  • Un des textes de ma chienne repris dans mon livre

    La Gifle

    Je suis une Chienne, soumise, docile je crois, toujours disposée à servir au plaisir de mon Maître ou des hommes à qui il aime m’offrir. Je ne suis pas masochiste, pas plus que mon maître n’est sadique, ce qui nous différencie de façon notable des couples Bdsm. Au cœur de notre relation D/s, l’Amour. Celui qu’on ne vit qu’une fois, quand on a la chance de le connaître…

    C’est de cet Amour qu’a surgi, une nuit, alors que je m’abandonnais à Lui, une gifle. Comme tout ce qui vient de mon Maître, le geste fut franc, entier, empreint d’une sincérité indubitable. Je restai saisie, interloquée, stoppée dans mon plaisir. Lui-même semblait surpris par l’instinct qui l’avait conduit à ce geste irrévocable.

    J’étais partagée entre la vexation, l’incompréhension et la force émotionnelle dégagée par sa gifle, que je ressentais comme un trop-plein qu’il avait fallu évacuer. La caresse sur ma joue, les baisers et ses mains entourant mon visage dans l’instant qui suivit la gifle donnèrent raison à cette impression.

    Depuis, sans jamais que je m’y attende, il arrive parfois que je sois surprise par sa main claquant sur ma joue alors qu’il me baise.

    Récemment, alors que la gifle faisait plus fréquemment son apparition au cœur de nos nuits, je me sentis brutalement rabaissée par ce geste, sans trop savoir pourquoi. Sa répétition me rendait presque craintive, m’empêchant de m’abandonner aussi complètement que ce que j’ai pour habitude de faire. J’avais l’impression de ne plus parvenir à n’être qu’un objet, sans conscience, sans pensée. Ce que je veux et dois être lorsqu’il me prend. J’attendais la gifle, sans savoir quand elle tomberait, mais je m’y attendais… Je fis part de mes impressions à mon Maître qui, toujours soucieux du bien-être de sa Chienne, stoppa immédiatement cette pratique.

    J’y ai souvent pensé depuis… Si la légère crainte ressentie ne me manque pas, le geste d’amour qui déborde au point de devoir se prolonger sur ma joue, lui, me manque. Ressentir son Amour est le cadeau le plus précieux, je nous ai privés d’une forme d’expression de cet Amour.

    Mon Maître, toi qui seras le premier à lire cette pensée, aime moi comme cela te vient. Gifle-moi lorsqu’il faut extérioriser la puissance de ton Amour. Que ce geste reste l’expression du trop-plein, sa rareté faisant sa richesse…

    Chienne Chris

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